Entrainement : surentraînement
Il est différent de la fatigue physiologique (normale); il peut survenir même après des efforts de très faible intensité. on le qualifie de fatigue chronique, malgré le repos, le surentraînement peut persister et représente les troubles suivants
- insomnie
- perte d'appétit et de poids
- pâleur du visage
- élévation de la pression artérielle
- troubles digestifs
- diminution du rendement musculaire et l'athlète aggrave encore plus son état en surchargeant ses séances d'entraînement
- apathie et agressivité
Certains facteurs favorisent l'apparition du surentraînement :
- repos insuffisant
- erreurs alimentaires
- infections générales ou méconnues
- problèmes familiaux, affectifs, professionnels etc.
Les moyens de récupération
La plus grande vérité pour effacer le surentraînement est le repos complet. Certaines pratiques permettront à l'athlète d'échapper à cette fatigue chronique :
Les méthodes de relaxation
Elles relaxent le sportif et augmente l'élimination des toxines due à l'effort.
Les corrections alimentaires
- diminution de l'apport protéique, augmentation de l'apport glucidique (surtout en sucres lents : pâtes, riz, semoule etc.)
- reprise de l'activité avec une diététique adaptée à l'effort
- vitaminothérapie de soutien ; vitamine C, E,B1, B6, B12
- apport hydrique suffisant (pour éliminer les toxines)
Mener une vie saine
- suppression du tabac, de l'alcool, du café ...
- éviter les substances dopantes (qui produisent de meilleures performances, mais dont l'effet est suivi d'un phénomène de compensation de fatigue très important)
- rationner son entraînement (éviter un surdosage des charges de travail et respecter un temps de récupération suffisant)
- contrôle et suivi médical régulier
- évaluer sa condition physique régulièrement par des tests d'effort (réalisés par votre entraîneur ou par un médecin spécialiste du sport)